M. Ban Ki-moon n’a pas caché son inquiétude concernant la tournure dramatique qu’ont pris les événements dans le Nord du Mali.
Et ce, après la reprise des hostilités entre les forces armées maliennes et les guérilleros touarègues.
Un communiqué émis par le bureau de presse du secrétaire général de l’ONU insiste sur l’urgence de trouver une solution, le plus rapidement possible, entre les deux belligérants.
Ainsi, le numéro un de l’ONU a décidé de dépêcher son envoyé spécial pour s’enquérir sur place sur la situation et voir comment arriver à régler le conflit.
Ce qui tombe à point nommé, car les Touarègues ont toujours exigé la présence de l’ONU dans toute future négociation entre eux, le Mali et le Niger.
Mais l’Algérie et la Libye ont toujours refusé de peur d’une internationalisation éventuelle du problème. Et pour cause. Les Touarègues occupent une grande partie du territoire de ces deux pays.
Et ce, après la reprise des hostilités entre les forces armées maliennes et les guérilleros touarègues.
Un communiqué émis par le bureau de presse du secrétaire général de l’ONU insiste sur l’urgence de trouver une solution, le plus rapidement possible, entre les deux belligérants.
Ainsi, le numéro un de l’ONU a décidé de dépêcher son envoyé spécial pour s’enquérir sur place sur la situation et voir comment arriver à régler le conflit.
Ce qui tombe à point nommé, car les Touarègues ont toujours exigé la présence de l’ONU dans toute future négociation entre eux, le Mali et le Niger.
Mais l’Algérie et la Libye ont toujours refusé de peur d’une internationalisation éventuelle du problème. Et pour cause. Les Touarègues occupent une grande partie du territoire de ces deux pays.
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