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Il fait également partie des rares penseurs marocains à avoir soutenu le mouvement du 20 février dès ses débuts.
Voilà, en fait, le véritable motif de son licenciement. D'ailleurs, le recteur de l'IRCAM, Ahmed Boukkous, ne s'en est pas caché lorsqu'il l'avait convoqué pour lui signifier son congédiement !
En réalité, s'il y a quelqu'un qui doit impérativement partir, ce n'est nullement Aassid, mais bel et bien Boukkous ! Comparé à Ahmed Aassid, cet homme n'a rien apporté de concret au combat en faveur de l'amazighté et de la démocratie au Maroc.
Lahsen Oulhadj et Mohamed Bennana.