Après avoir dissous son parti pour des raisons pour le moins fallacieuses, il paraît que Me. Ahmed Adgherni dérange encore et toujours le Makhzen.
À en croire le site Tamazgha Presse, habituellement très bien renseigné, il a été purement et simplement interdit, la matinée du 15 mai, d’embarquer à Casablanca vers Madrid.
Et ce, pour l’empêcher d’animer une conférence, organisée par l’association amazigho-espagnole, Tamazgha.
Me Adgherni devait y donner une communication sur les multiples violations des droits civils et identitaires amazighs par le régime de Rabat.
N’eût été l’intervention du Cortès espagnol -le parlement-, qui a adressé une lettre de protestation au ministère des affaires étrangères marocain, le remuant Ahmed Adgherni n’aurait jamais quitté le territoire national.
Comme toujours dans ce genre de cas, les autorités marocaines ont fait marche arrière et ont obtempéré à l’injonction espagnole.
Me Adgherni a ainsi pu prendre, tranquillement, son avion vers Madrid.
À en croire le site Tamazgha Presse, habituellement très bien renseigné, il a été purement et simplement interdit, la matinée du 15 mai, d’embarquer à Casablanca vers Madrid.
Et ce, pour l’empêcher d’animer une conférence, organisée par l’association amazigho-espagnole, Tamazgha.
Me Adgherni devait y donner une communication sur les multiples violations des droits civils et identitaires amazighs par le régime de Rabat.
N’eût été l’intervention du Cortès espagnol -le parlement-, qui a adressé une lettre de protestation au ministère des affaires étrangères marocain, le remuant Ahmed Adgherni n’aurait jamais quitté le territoire national.
Comme toujours dans ce genre de cas, les autorités marocaines ont fait marche arrière et ont obtempéré à l’injonction espagnole.
Me Adgherni a ainsi pu prendre, tranquillement, son avion vers Madrid.