Après le plus grand couscous, le plus grand tajine, la plus grande babouche, le Maroc a réalisé une autre grande première : le plus grand joint au monde. Vous piaffez certainement d’impatience pour en savoir davantage sur cette histoire abracadabrantesque. En fait, c’est très simple : allez vite et tout droit chez le plus proche bon disquaire pour vous procurer le dernier opus du terrible humoriste, Aslal. Produit par la très dynamique maison de production, Ayouz Vision, lafiray làaib, son titre, est disponible sur le marché depuis déjà quelques jours.
Il n’y a pas que cette histoire du plus grand joint au monde dans ce terrible man one show. Enregistré dans un décor minimaliste et avec son accent propre aux gens d’Aksimen et d’Imsgginen, Aslal n’en rate aucune pour laisser libre court à son ironie pour le moins acerbe, au goût très amer (aslal voulant dire le miel très sucré en tamazight). Bien évidemment la situation déplorable de l’homme amazigh est dans sa ligne de mire. Pas seulement : ceux aussi qui l’empêchent de s’exprimer aussi n’ont pas échappé à ses griffes… comiques.
Parce qu’ils monopolisent la parole, toutes les paroles. Autrement dit, les politiciens véreux, locaux ou nationaux, qui sont passés maîtres dans une seule et unique spécialité : vendre, fièrement, à tour de bras, le pays, tout le pays au plus offrant. En fait, fidèle à lui-même, les sujets évoqués par Aslal sont graves, très graves même. Mais il propose une solution qui ne coûte strictement rien, gratuite même : en rire.
Si vous voulez donc passer un moment de franche rigolade, regardez et surtout écoutez en laissant grandes ouvertes vos oreilles ce dernier produit de notre bête de scène, l’inimitable Aslal. Pour ceux qui ne le connaissent pas encore, ce serait franchement une très belle occasion de le connaître et le découvrir. Ils ne le regretteront jamais.
Il n’y a pas que cette histoire du plus grand joint au monde dans ce terrible man one show. Enregistré dans un décor minimaliste et avec son accent propre aux gens d’Aksimen et d’Imsgginen, Aslal n’en rate aucune pour laisser libre court à son ironie pour le moins acerbe, au goût très amer (aslal voulant dire le miel très sucré en tamazight). Bien évidemment la situation déplorable de l’homme amazigh est dans sa ligne de mire. Pas seulement : ceux aussi qui l’empêchent de s’exprimer aussi n’ont pas échappé à ses griffes… comiques.
Parce qu’ils monopolisent la parole, toutes les paroles. Autrement dit, les politiciens véreux, locaux ou nationaux, qui sont passés maîtres dans une seule et unique spécialité : vendre, fièrement, à tour de bras, le pays, tout le pays au plus offrant. En fait, fidèle à lui-même, les sujets évoqués par Aslal sont graves, très graves même. Mais il propose une solution qui ne coûte strictement rien, gratuite même : en rire.
Si vous voulez donc passer un moment de franche rigolade, regardez et surtout écoutez en laissant grandes ouvertes vos oreilles ce dernier produit de notre bête de scène, l’inimitable Aslal. Pour ceux qui ne le connaissent pas encore, ce serait franchement une très belle occasion de le connaître et le découvrir. Ils ne le regretteront jamais.
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