À son retour d’Espagne, Me Adgherni a dévoilé à Tamazgha Presse que la rencontre de la délégation du parti amazigh démocratique (PDAM), à Madrid, le mardi 20 mai 2008, avec les groupes parlementaires espagnols, dont le parti au pouvoir, a été l’occasion de discuter plusieurs points.
Entre autres la question de la dissolution du parti amazigh par le ministère de l’Intérieur, la Constitution du royaume et la fameuse loi sur les partis politiques, promulguée le 26 février 2006.
Une loi qui est, selon l’expression même de Me Adgherni, en contradiction flagrante avec ce qui a cours dans les pays européens, qui, démocratiques qu’ils sont, croient dans la diversité et le droit à la différence.
Me Adgherni a ajouté que cette invitation espagnole à Madrid est venue après la participation remarquée du PDAM au colloque organisé par l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE).
À l’en croire, c’est une preuve indiscutable de la reconnaissance internationale dont jouit le Parti amazigh démocratique. D’ailleurs, tient-ils à souligner, le PDAM est la première formation politique marocaine à avoir le privilège de s’entretenir avec tous les groupes parlementaires espagnols.
Bien plus, toujours selon Adgherni, d’autres groupes parlementaires européens vont incessamment inviter le parti amazigh pour expliquer ses démêlées avec la justice marocaine et faire connaître, dans le même temps, les tenants et les aboutissants de l’épineuse question amazighe.
L’intérêt soudain des Européens pour le peuple amazigh, explique le secrétaire général du PDAM, vient du fait que sa civilisation est toujours caractérisée par la tolérance et l’ouverture sur l’autre. Ce qui ne peut qu’aider à consolider la paix sur le flanc Sud de la Méditerranée qui a vu, ces dernières années, l’apparition du terrorisme et des mouvements racistes au Moyen Orient.
À signaler que la délégation du Parti amazigh est composée, en plus d’Adgherni, de Rachid Raha, vice-président du Congrès mondial amazigh et de plusieurs représentants des associations amazigho-espagnoles.
Entre autres la question de la dissolution du parti amazigh par le ministère de l’Intérieur, la Constitution du royaume et la fameuse loi sur les partis politiques, promulguée le 26 février 2006.
Une loi qui est, selon l’expression même de Me Adgherni, en contradiction flagrante avec ce qui a cours dans les pays européens, qui, démocratiques qu’ils sont, croient dans la diversité et le droit à la différence.
Me Adgherni a ajouté que cette invitation espagnole à Madrid est venue après la participation remarquée du PDAM au colloque organisé par l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE).
À l’en croire, c’est une preuve indiscutable de la reconnaissance internationale dont jouit le Parti amazigh démocratique. D’ailleurs, tient-ils à souligner, le PDAM est la première formation politique marocaine à avoir le privilège de s’entretenir avec tous les groupes parlementaires espagnols.
Bien plus, toujours selon Adgherni, d’autres groupes parlementaires européens vont incessamment inviter le parti amazigh pour expliquer ses démêlées avec la justice marocaine et faire connaître, dans le même temps, les tenants et les aboutissants de l’épineuse question amazighe.
L’intérêt soudain des Européens pour le peuple amazigh, explique le secrétaire général du PDAM, vient du fait que sa civilisation est toujours caractérisée par la tolérance et l’ouverture sur l’autre. Ce qui ne peut qu’aider à consolider la paix sur le flanc Sud de la Méditerranée qui a vu, ces dernières années, l’apparition du terrorisme et des mouvements racistes au Moyen Orient.
À signaler que la délégation du Parti amazigh est composée, en plus d’Adgherni, de Rachid Raha, vice-président du Congrès mondial amazigh et de plusieurs représentants des associations amazigho-espagnoles.
1 commentaire:
azul ayimeghnasen imazighen tanmirt idda hmad d raha d akw imeghnasen , tawuri tankra ar tirni
ayyuz : akal afgan awal
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